les actualités de 2016
52nd Annual Auto Club NHRA Finals 
Nov. 10-13 2016
The season concludes where it began with an event traditionally laced with drama. The historic racetrack typically enjoys seasonably cool ­temperatures that translate into perfect racing conditions and a spectacular, no-holds-barred battle for the prestigious NHRA Mello Yello Drag Racing Series world championships. It’s a good bet that the Top Fuel, Funny Car, Pro Stock, and Pro Stock Motorcycle world titles will still be in doubt at the beginning of the season’s final day.

A baked, barren wilderness to those who first visit, the Mojave Desert is a land of coyotes, tortoises, hawks, rattlesnakes, mesquite, juniper and of course, Joshua trees. It’s a place of severe contrasts: searingly hot days and bone-chilling nights, violent dust devils, mystifying mirages and spellbinding sunsets. El Mirage Lake is a dry lake bed in the Mojave Desert of San Bernardino County. The lake is located about 9 miles (14 km) west-northwest of the town of Adelanto and 10 mi (16 km) north of Highway 18 in San Bernardino County. The dry lake, at an elevation of 2,840 ft (870 m), is approximately 6 mi (9.7 km) long. Most people may not be as familiar with El Mirage Lake as with its neighbor to the north by 30 miles or so, Rogers Dry Lake, the central geographic feature of Edwards Air Force Base. There the golden age of test flight saw the birth of manned turbojet flight, Chuck Yeager break the sound barrier and on the morning of April 14, 1981, the wheels of Space Shuttle Columbia touch down for the first time.
Shelby American currently offers authentic continuation Cobras, including the Cobra 427 S/C, the Cobra 289 FIA and the Cobra 289 S/C,; these are sold as component vehicles (i.e. without engines or drive trains); Shelby Cobras are offered through a proprietary network of dealers in North America and Europe. In addition, Shelby American has produced a number of limited edition pre and post title new model year cars based on the Ford Mustangs through its cooperative relationship with Ford Motor Company, which is also a licensee of Carroll Shelby Licensing, Inc. for purposes of selling pre-title Shelby branded vehicles, including the Shelby GT500 and GT350. Shelby American is currently focused on the production of post-title vehicles and aftermarket parts, the former including the Shelby Super Snake, Shelby GT and Shelby GTS. Shelby American also sells aftermarket styling and performance parts under the Shelby Performance Parts brand name.
Il n'existe pas de témoignages écrits qui pourraient attester l'âge de cette coutume. Ses racines remontent probablement à la nuit des temps où, lors de longues nuits des solstices d'hiver, nos ancêtres encore païens essayaient de chasser les mauvais esprits et les démons dans une poursuite sauvage. En encerclant les arbres fruitiers au son des clochettes et en faisant claquer des fouets on espérait une récolte plus abondante. La "Klausjagen" est donc un vestige d'un rite de fécondité germain. 
 
Ce rite sauvage doit avoir été profondément ancré dans la population. Après la christianisation, les messagers de la foi eurent beaucoup de peine à interdire ces us et coutumes estimés par la population. Ils n'y parvinrent qu'en conférant un sens chrétien à cet ancien culte païen. La personne du saint évêque Nicolas de Myre fut choisie comme personnage d'intégration. On vénérait depuis longtemps cet évêque, distributeur d'aumônes et patron des marins, décédé autour de 350. Ainsi, cette chasse sauvage devint une "Klausjagen" plus ou moins civilisée. 
 
Pourtant cette "Klausjagen" christianisée devint à la longue elle aussi sujet de contrariété. C'est ce que nous mentionne pour la première fois le protocole du conseil de Küssnacht en 1732 à peu près dans les termes suivants: Il est connu que les garçons qui dérange les gens pendant la nuit par leur bruit de cor et de "Tricheln" devront payer une amende d'une livre afin qu'ils cessent leurs agissements. De cette manière on n'interdit pas la chasse elle même, mais les excès survenus. L'esprit de la fin du 19. siècle ne se prêtait pas aux vieilles coutumes populaires. Les Küssnachtois cultivés avaient honte des agissements barbares d'une partie de leurs concitoyens pendant la "Klausjagen". De l'hôtel de ville et de la chaire de l'église se multipliaient les avertissements et les interdictions. Beaucoup de "Klausjäger" confirmaient par leur comportement cette mauvaise impression. Le claquement des fouets n'était pas assez fort, les détonations de pistolets remplissaient mieux ce but. Les cors de verre fabriqués de manière illicite dans la verrerie représentaient un danger d'accident latent, les bidons d'essence remplis de pierres faisaient concurrence aux "Treicheln" ( cloche de vache) et les accoutrements des "Klausjäger" rappelaient plutôt Carnaval que le temps de l'Avent. 
 
Pourtant, avant que l'agonie de cette vieille coutume n'ait sonné, quelques Küssnachtois se regroupèrent en 1928 afin de maintenir cette tradition. Ils décidèrent de défiler avec dignité au ,,cortège de Nicolas" du 5 décembre 1928. Les instruments non traditionnels bruyants comme les boîtes de métal et les cors en verre furent interdits. Cette oeuvre débutée en 1928 évolua les années suivantes de manière satisfaisante. En 1933 la société prit les formes d'une association et 22 "Klausjäger" y adhérèrent. Aujourd'hui, elle est la plus grande du district de Küssnacht, et compte plus de 1600 membres masculins. Juste après sa fondation, la société récolta des dons afin d'accumuler un fonds de remise de cadeaux. Les nombreuses contributions sont distribuées sous la forme de bons cadeaux aux familles nombreuses, aux malades, aux personnes âgées et aux démunis.